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« La question du jour | Accueil | Michel Rocard analyse le résultat des européennes »

05 juillet 2009

Commentaires

Julien Lecaille

C'est un billet un peu décalé, par rapport au débat difficile (et passionant) des avantages comparés des taxes carbones et des marchés de droits d'émission, tout comme sur l'enjeu d'avoir une commission européenne en mesure de tenir une ligne politique plutôt qu'un consensus mou interétatique.

Une présidence dure 6 mois. Celle ci inclura Copenhague comme le lancement de la nouvelle commission, qui sont sur des temporalités beaucoup plus longue.

L'important c'est que les choses se lancent sous une présidence, pas de croire qu'elles peuvent aboutir immédiatement sans que des bases solides aient été établies.

Gus

Il me semble tout à fait évident que l'industrie financière préfèrerait des droits à polluer. Et dès qu'elle obtiendra licence pour leur commerce, elle plaidera pour leur extension.

Qquand on constate que c'est surtout leur activisme règlementaire qui a permis la création des conditions de la crise financière actuelle, on ne surestimera guère leur puissance de feu en suggérant qu'une Commission affaiblie, réduite au rôle de secrétariat du Conseil comme le propose Lisbonne, ne leur fera pas face.

TT

Du point de vue des idées, cet appareillage fiscal compliqué révèle surtout la pénétration d'une pensée économiciste dans les problématiques environnementales. Un exemple d'analyse en ce sens : http://yannickrumpala.wordpress.com/2008/09/06/comprendre-les-origines-du-bonus-malus-ecologique-et-son-extension/

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