C'est dans "Le Monde" d'aujourd'hui : et puisque ce journal ne laisse pas à ses lecteurs d'accès durable à ses archives, il faut aller le lire, et rapidement. C'est ici :
De la part de l'homme qui a mené la charge final du Parlement Européenne contre la directive B2I ("brevets logiciels") alors portée par le désormais (mais tardivement) universellement honni Mc Creevy, on s'étonnera certainement de l'étrangeté des conclusions tirées en regard de la grande pertinence de certaines analyses. Notamment :
- Comment donc les citoyens européens, réputés aptes à gagner la bataille de la productivité sans effort car sensés devenir l'économie la plus compétitive du monde, pourraient-ils se résigner à tant d'efforts pour le simple bénéfice du renflouement des banques et de leurs gouvernants impécunieux ?
- Est-il rationnel de laisser à une puissance publique faisant un usage si ostensiblement inefficace (dorures, cérémoniaux, institutions redondantes, irresponsabilité généralisée) des ressources qu'elle prélève sur l'économie ne serait qu'un centime d'euro de plus que ce qu'on est formellement contraint de lui céder ?
test francais
Rédigé par : black hattitude | 10 septembre 2009 à 12:33