Ils auront des législatives anticipées. Enfin, sauf avis contraire de la cour constitutionnelle allemande, probablement saisie du sujet par deux députés, l'un vert l'autre du SPD, et plusieurs petits partis politiques. Hier, le président allemand Horst Kölher a donc dissout le Bundestag, accédant ainsi à la requête de Gerhard Schröder. Ce sera certainement mi-septembre.
Pourquoi faire le rapprochement entre le référendum français et ces législatives annoncées en Allemagne. Car il risque de s'y passer un phénomène identique sur l'échiquier politique: la montée en puissance d'une alternative à gauche du parti social-démocrate.
Je ne suis certes pas un spécialiste de la scène politique allemande, n'étant pas germanophone et pas vraiment germanophile non plus. Mais à lire la presse française (ici, là ou encore ici, voire également là) ces derniers temps, si tant est que l'écho soit bon, la montée en puissance de l'alliance PDS/WASG ressemble à s'y méprendre au bouillonnement qu'on a pu constater à la gauche du PS (et parfois même en son sein) pendant la campagne référendaire.
Dernier acte en date et concrétisation de cette alliance qui commence à faire trembler le SPD comme la CDU, le changement de nom du PDS, ancien parti communiste est-allemand, en Parti de la Gauche, dimanche et la décision de ce "nouveau" parti d'entériner une alliance avec le parti nouvellement créé début 2005, le WASG (ou Parti du Travail et de la Justice Sociale), qui a reçu un allié de poids en la personne de l'ancien dirigeant du SPD et ex-ministre des finances de Schröder, Oskar Lafontaine.
Cette nouvelle force politique est d'ors et déjà créditée de 12% des suffrages lors des derniers sondages, et même plus de 30% dans l'ancienne RDA. Un tel score au niveau national en ferait la troisième force politique allemande et la placerait en arbitre du duel SPD-CDU.
Comment ne pas faire le parallèle avec les rassemblements officiels ou officieux en France, au sein de collectifs comme les Comités pour la victoire du Non par exemple, de militants LCR, PC, PS, PT, de syndicalistes CGT, FO, SUD, de militants d'ATTAC? Comment ne pas voir en Oskar Lafontaine une sorte de Fabius allemand? Et comme par hasard, comment les partis politiques traditionnels, SPD en tête, et les médias dominants cherchent-ils à discréditer par avance cette alliance et l'ancien ministre des finances? En les qualifiant de populistes...
En retour, l'émergence de ce nouveau parti à gauche du parti social-démocrate, qui connaitra donc son baptême du deu en septembre prochain, ne pourrait-il pas inspirer la gauche de la gauche française pour son après référendum?
Et où l'on pressent déjà que les mêmes thèmes seront portés au débat outre-Rhin. Ce qui donnera finalement aux allemands l'occasion d'une sorte de référendum, eux aussi. A suivre donc.
@ Simon
Les racistes sont des gens qui se trompent de colère" disait Senghor.
« Cette colère peut avoir des justifications rationnelles autrement plus compréhensibles que ses manifestations. »
C’est cela qui est pathétique !
Rien, mais alors absolument rien ne justifie que l’on se trompe de colère de cette façon !
Rédigé par : margit | 24 juillet 2005 à 01:05
@ Margit
Le racisme, c'est un peu comme le cancer ou le SIDA. Si le médecin ou le chercheur ne tente pas de comprendre la maladie, il ne risque pas de la soigner. Si on ne cherche pas à comprendre le racisme, on ne riquem pas de le faire reculer, et ce ne sont pas les actions super médiatisée du MRAP ou de SOS racisme qui y arriveront. La diabolisation, c'est bidon sinon, on aurait déjà remarqué. Rien ne justifie le racisme, mais il exite. C'est donc une génération spontanée ?? Je n'ai pas dit qu'il était légitime, mais compréhensible, comme on peut analyser la montée du fascisme en Italuie dans les années 30 ...
Rédigé par : Simon | 24 juillet 2005 à 01:14
Bah, Margit regrette les bonnes intentions du gouvernement Juppé de 95 avec Madelin à l'économie... et après on ne se prétend pas ultralibérale...?
Rédigé par : DG | 24 juillet 2005 à 01:15
De toute façon, certains sont heureux comme des papes, il n'y a presque plus rien au dessus de la liberté des capitaux...
http://europa.eu.int/rapid/pressReleasesAction.do?reference=IP/05/998&format=HTML&aged=0&language=FR&guiLanguage=en
Rédigé par : DG | 24 juillet 2005 à 01:21
@ DG
nuance
sociale-libérale :-))))
Rédigé par : margit | 24 juillet 2005 à 01:26
C'ezst quoi la différence ?? La quantité de paumade sur la fracture ??
Rédigé par : Simon | 24 juillet 2005 à 01:28
"C'ezst quoi la différence ?? La quantité de paumade sur la fracture ??"
C'est qu'elle pratique la charité, elle donne l'aumône au pauvre.
Rédigé par : Quoique | 24 juillet 2005 à 01:53
Ouiap on en reste au niveau il y a de l'injustice, c'est pas beau c'est pas bien, alors je me roule par terre en hurlant.
Je ne dis à AUCUN moment que la situation est bonne. Pas de leçon de "ça va très mal", please. Me faire traiter de Tatchèrien, c'est plutôt rigolo. Je ne dis à aucun moment qu'il n'y pas d'alternatives, faut arrêter avec les slogans à 2 balles. Ca n'a rien de simple et ça ne se limite pas à annoner le Kapital c'est mal, c'est se foutre de la gueule des gens.
Si votre vision de la lutte contre le chômage se limite à il faut payer plus et plus longtemps les chômeurs, ou à crédibiliser les fafs de gauche, ça va faire un peu léger comme programme politique. Mais bon on est dans le domaine du religieux là, je ne lutte point( :-)
Rédigé par : Eviv Bulgroz | 24 juillet 2005 à 10:52
@quoique
"C'est qu'elle pratique la charité, elle donne l'aumône au pauvre."
Bien au contraire, margit (dont je ne partage pas la plupart des options politiques, mais bon :-) ) veut qu'on donne les outils pour que le pauvre il s'en sorte tout seul comme un grand. Bon faut l'aider, mais ponctuellement. Tout le contraire de l'aumône.
L'aumône c'est par exemple les aides aux développement des pays pauvres.... qui servent plus à payer nos coopérants qu'autre chose, et qui ne servent pas à grand chose dans un contexte où on refuse de commercer de façon juste avec eux...
Rédigé par : Eviv Bulgroz | 24 juillet 2005 à 10:56
non Krystoff je ne suis pasd'accord avec ton analyse, pour deux raisons:
1-ce n'est pas nouveau en France ces coalitions de divers mouvements qui se veulent "à la gauche du ps".
Il y a de maniére quasi permanente des unitaires (anti-fn, sans-papiers...) dans lequel se rassemble ces gens, avec parfois une participation du ps (Comité de vigilance sur l'extreme-droite).
Ces coalitions ne débouchent jamais sur grans chose au niveau électoral et trés vite le pcf, qui est aussi un parti d'élus qui souhaitent rester dans une gauche de gestion communale et législative retrouve le chemin des accords avec le PS.
Quant aux autres, leurs divisions idéologiques et stratégiques, leurs faibles scores empêchent des résultats convaincants qaux élections.
Dnas ma ville, la liste "100% à gauche" qui rassemblait déjà ce type de gauche depuis 2001 fait entre 2 et 4% par exemple...
En allemagne c'est un peu différent:le pds gére ou co-gére des lands en se présentant sous sa seule étiquette en faisant dans certains lands des scores considérables.
Pour ce qui est du WASG, rien à part les sondages et les médias) ne dit que son score sera exceptionnel (souvenons nous des électiosn régionales en France où la lcr était donnée en progrés alors qu'il y a eu reflux de la gauche radicale).
SOn score de 2% dans les lands où il s'est présenté n'en fait pas, pour l'instant, une force électorale considérable.
A voir si les choses peuvent changer en la matiére...
2-Encore une fois,si la gauche radicale a trés majoritairement voté non,ce non là est loin d'être majoritaire chez les 55% d'électeurs qui comprenaient aussi des non-alignés, des souverainistes de droite, des électeurs de la gauche de gouvernement, certains écolos ou des fascistes...
De plus ce non et le travail unitaire de la gauche de la gauche ne s'est pas fait sur le bilan de gouvernement du PS ou sa ligne, sauf pour certains membres du ps partisans du non.
Là en l'occurence le premier adversaire du wasg-pds sera le spd et le gouvernement Schroder...
Au risque de contribuer à la victoire de Merkel et de son programme de démantelement del 'état social allemand, un programme à faire passer Hartz 4 pour quelque chose à gauche de l'ouvrage "Les Taches" de Léon Trotsky.
Mais n'es ce pas le moyen, plus ou moins conscient, pour eux de créer le vieux fantasme de la situation révolutionnaire par la crise sociale????
Rédigé par : socdem | 24 juillet 2005 à 10:57
non Krystoff je ne suis pas d'accord avec ton analyse, pour deux raisons:
1-ce n'est pas nouveau en France ces coalitions de divers mouvements qui se veulent "à la gauche du ps".
Il y a de manière quasi permanente des unitaires (anti-fn, sans-papiers...) dans lequel se rassemble ces gens, avec parfois une participation du ps (Comité de vigilance sur l'extreme-droite par exemple).
Ces coalitions ne débouchent jamais sur grand chose au niveau électoral et trés vite le pcf, qui est aussi un parti d'élus qui souhaitent rester dans une gauche de gestion communale et législative retrouve le chemin des accords avec le PS.
Quant aux autres, leurs divisions idéologiques et stratégiques, leurs faibles scores empêchent des résultats convaincants aux élections.
Dans ma ville, la liste "100% à gauche" qui rassemblait déjà ce type de gauche depuis 2001 fait entre 2 et 4% par exemple...
En Allemagne c'est un peu différent:le pds gère ou co-gére des lands en se présentant sous sa seule étiquette en faisant dans certains lands des scores considérables.
Pour ce qui est du WASG, rien à part les sondages et les médias) ne dit que son score sera exceptionnel (souvenons nous des élections régionales en France où la lcr était donnée en progrès alors qu'il y a eu reflux de la gauche radicale).
Le score du WASG de 2% dans les lands où il s'est présenté n'en fait pas, pour l'instant, une force électorale considérable.
A voir si les choses peuvent changer en la matière...
2-Encore une fois,si la gauche radicale a très majoritairement voté non,ce non là est loin d'être majoritaire chez les 55% d'électeurs qui comprenaient aussi des non-alignés, des souverainistes de droite, des électeurs de la gauche de gouvernement, certains écolos ou des fascistes...
De plus ce non et le travail unitaire de la gauche de la gauche ne s'est pas fait sur le bilan de gouvernement du PS ou sa ligne, sauf pour certains membres du ps partisans du non.
Là en l'occurrence le premier adversaire du wasg-pds sera le spd et le gouvernement Schroder...
Au risque de contribuer à la victoire de Merkel et de son programme de démantèlement de l 'état social allemand, un programme à faire passer Hartz 4 pour quelque chose à gauche de l'ouvrage "Les Taches" de Léon Trotsky.
Mais n'es ce pas le moyen, plus ou moins conscient, pour eux de créer le vieux fantasme de la situation révolutionnaire par la crise sociale????
Rédigé par : socdem | 24 juillet 2005 à 11:18
enfin pour ce qui est du populisme, ce n'est pas le parti social-démocrate qui porte les accusations de populisme mais des organisations comme le conseil central des juifs d'allemagne:
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3214,36-671203@51-642773,0.html
Rédigé par : socdem | 24 juillet 2005 à 11:22
@ Simon et Quoique
Ohhh, vous êtes bien mignon avec vos couches de pommade :-)
La différence entre ultralibérale et sociale libérale ?
"Trouver un chemin pour améliorer le social mais aussi l’économie…"
Ce qui n’est pas votre cas. Dans vos chimères vous croyez que les moyens de redistribution sont infinis, que l’on peut s’endetter à l’infini, que vous n'avez pas à tenir compte des pays qui vous entourent, parce que de toute façon vous comptez leur montrer le vrai, le bon chemin...
Je vous appelle des « yakas »…
C’est facile en parole, mais si on suivait vos préceptes à la fin du processus il y a quoi ?
Un état ruiné, un état omniprésent et totalitaire, un état coupé du monde qui l’entoure …tiens, ça me rappelle quelque chose !
Présentez nous honnêtement un programme précis (comportant des améliorations économiques qui permettront plus de social et non pas plus de social sans se soucier de l'économie)avant de critiquer ceux qui cherchent à avancer sans détruire les bons côtés (il y en a beaucoup !)de notre monde.
Rédigé par : margit | 24 juillet 2005 à 11:31
Simpliste l'accusation-injure de populisme : mettez-là dans la bouche des "autorités "les plus "respectées" de l'Etat, associez tout d'abord le populisme au FN et à Lepen, faites donner les médias (qui ne s'en privent pas) et vous affectez durablement, sans autre forme de procés, une connotation ultra-négative et donc disqualifiante du terme POPULISTE.
A lire : "Les mésusages politiques du populisme" par Annie Collovald, Maître de conférences en sciences politiques Université Paris-X et membre du LASP (Laboratoire d'analyse des systèmes politiques) www.fondation-copernic.org/ Flash-juin2005-%20Populisme.pdf (65ko).
Rédigé par : Desmotscratie | 24 juillet 2005 à 12:02
Le social-libéralisme suite :
je ne suis pas seule à penser que c'est possible :
"..... Ne faisons plus du libéralisme, avec son exigence de régulation, son besoin de justice, et sa recherche d'une concurrence loyale et égale, l'objet de nos craintes et le bouc émissaire de nos échecs. Ne le confondons pas avec l'ultra libéralisme synonyme d'absence de règles et de loi du plus fort. Oui, l'alliance du socialisme et du libéralisme est possible, nécessaire même à l'incarnation de nos valeurs. Car, ce sont la liberté de la personne, la responsabilité partagée, l'engagement individuel et collectif, qui ouvrent la voie au progrès et à de nouvelles formes de justice sociale. L'initiative est facteur de dynamisme, la concurrence régulée favorise l'innovation, et, en s'opposant aux situations acquises
ou héritées comme aux privilèges, est la condition de la justice, de la mobilité sociale et de l'égalité. Pour incarner son ambition de progrès social et d'émancipation partagée, la gauche doit être en prise avec les mutations du monde contemporain.....
Trouvant sa force et son dynamisme dans l'autonomie et la responsabilité des acteurs, éclairé par les exigences de la solidarité, attentif à l'égalité des chances, notre projet vise, dans le cadre d'une démocratie élargie,l'efficacité économique, la justice sociale et un développement véritablement durable.
Une telle ambition, pour la France des années à venir, n'a de sens que si elle est au coeur d'un projet pour l'Europe."
http://generationseurope.over-blog.com/article-565638.html
Rédigé par : margit | 24 juillet 2005 à 12:02
@Desmo
Oui oui. C'est un des grands thèmes de Diplo/Attac/et donc sans surprise Copernic.
Le populisme se réduirait à une invention des classes dirigeantes afin que le peuple, le vrai (Cassen ? Nikonnoff ? Salesse ? ouarfffff) ne puisse imposer les vrais politiques qu'il préconise lui le peuple, le vrai (Cassen ? Nikonnoff ? Salesse ?re- ouarfffff).
C'est un peu du Sarkozi : "parlons sans tabou". Et on voudrait que je reste calme :-)))
Ceci dit ok : je ne m'arrête pas aux classification, que ce soit poupliste, élitiste ou entre les 2 peu m'importe. Les politiques préconisées par ces gus sont dangereuses, liberticides et réactionnaires. C'est tout
Rédigé par : Eviv Bulgroz | 24 juillet 2005 à 12:21
@ Margit
"Ne faisons plus du libéralisme, avec son exigence de régulation, son besoin de justice, et sa recherche d'une concurrence loyale et égale, l'objet de nos craintes et le bouc émissaire de nos échecs. Ne le confondons pas avec l'ultra libéralisme synonyme d'absence de règles et de loi du plus fort."
Il me semble que même Hayek insiste sur la nécessité d'existence d'un Etat suffisamment fort pour garantir les condition de fonctionnement du marché.
"Je vous appelle des « yakas »…
C’est facile en parole, mais si on suivait vos préceptes à la fin du processus il y a quoi ?"
Peut être que l'accusation serait plus crédible si elle n'était pas immédiatement suivie d'une déclaration de principe assez creuse en proposition sauf que le libéralisme c'est cool et qu'être antilibéral c'est être à coté de la plaque ...
Revenons à ce qui nous concerne : des propositions ?? Le problème selon moi n'est pas le fait que des chômeurs puisse refuser un emploi mais les raisons qui les y pousse (problème de logement, perte de revenu, impossibilité pour le conjoint de trouver un emploi dans la même région ...). Un controle des chômeurs ?? Pourquoi pas, mais c'est mettre la charrue avant les boeufs, parce qu'un véritable accompagnement des chômeurs permettrait d'orienter les demandeurs et de facilité les démarches annexes (crèche par exemple). Pour ce qui concerne le problème du logement, j'ai toujours été un chaud partisant des réquisitions (à noter, ques des amis de DSK et de socdel en parlent dans leur contribution sur le logement, intéressante, pour le congrès du PS). Je constate que l'on est toujopurs plus enclin à emm... les chomeurs qu'une certaine partie du patronat qui pourtant passe le plus clair de son temps à pleurer âuprès de l'Etat, j'ai bien entendu parlé de la FNSEA et de la CGPME et de leurs troupes qui fournissent un bonne partie des fraudes au code du travail (heures sup non payées, feuilles de paye non conforme, ce qui contrairement au chômeurs qui rempli mal son formulaire, est assez peu réprimé) ...). ---> multiplions par 2 ou 3 le nombre d'inspecteurs du travail.
Rédigé par : Simon | 24 juillet 2005 à 13:05
@ Margit
www.c6r.com
www.nouveau-ps.net
Rédigé par : Simon | 24 juillet 2005 à 13:06
je suis d'accord avec Simon, surtout sur la contrib logement, lol (ton socdel à mon sujet est-il injurieux ou simple faute de frappe?).
La délinquance en col blanc coûte infiniment plus cher que les quelques fraudes de chomeurs et pourtant on préfére cogner les pauvres qui volent trois sous et un bout de pain qu'un type qui a des cosneillers pour soustraire des millions à la puissance publique, millions qui pourriaent servir à l'éducation ou à soutenir l'emploi et la santé.
Rédigé par : socdem | 24 juillet 2005 à 13:35
C'est pas ça la question.
Tout simplement pas.
Chassé le chômeur frauduleux on s'en bat les roubignoles. Il s'agit de trouver un bon système. Actuellement reprendre un emploi te coûte (bien souvent) du pognon. Déjà que tu vis pas terrible. Tu vis plus mal avant qu'après. Pour des tas de raisons, dont certaines données par Simon ou autres.
Donc le système te pousse à rester au chômage, vraiment. Il y a un aspect intéressant, tu as le temps d'attendre/proospecter pour le truc de tes rêves. Il y a un aspect négatif : tu reste chez toi à t'enterrer, à refuser des trucs en fait pas si inintéressant. Mieux que ton enlisement actuel pour sur.
Alors je ne prétend pas qu'il y a de vrais solutions. Que pousser le chômeur à accepter un truc moyen fera baisser le chômage. Au mieux cela permettra de lutter contre la destructuration, dégout que le chômage longue duré véhicule.
Perso je suis assez favorable pour des aides étatiques enlevant ces effets de paliers, qui sont totalement contre incitatif et plonge une partie de la population dans des voies sans issues.
Rédigé par : Eviv Bulgroz | 24 juillet 2005 à 14:01
pls erreurs :-) dont :
Tu vis plus mal après qu'avant :-)
Rédigé par : Eviv Bulgroz | 24 juillet 2005 à 14:13
Whaou !! ça faisait longtemps que j'étais pas venu faire un tour sur Publius. Je pensais les forums fermés après la claque du 29 mai... Mais y en a qui s'acharnent !! Hein Margit, hein Zorglub !! :-)))
Tous de fachos-cocos, des sectaires, hein, ces nonistes !! Ha la bonne blague !! :-)))
Après m'être fait traiter de tous les crypto-machins par Zorglub (faut arrêter de lire Spirou, y a des lectures plus intéressantes pour un grand garçon comme toi...), moi j'ai un "crypto-" pour vous... J'ai pas mal de gens autour de moi (pas trop quand même, hein...) qui depuis ce fameux 29 mai m'affirment que "bien qu'à gauche", ils préfèreront voter Sarko qu'à la gauche du PS. Je crois sentir que vous êtes sur la même ligne, non ?? Ecrire que la France a "un modèle de société hérité du communisme" est une imposture, hein Margit... :-o !! Penser que vous êtes l'avant-garde de la gauche et qu'à gauche de vous, y a plus rien est une franche rigolade, hein Zorglub... :-o Penser que tous ceux qui sont pas d'accord avec vous sont des "populistes" est une aporie... ça ne mène nulle part, ça n'explique rien et vous vous trompez de colère. Mais c'est pas grave, ça arrive à tout le monde... En attendant, vous pourriez lire quelques lignes d'Annie Collovald, qui vous permettront peut-être de vous mettre au clair sur cette question... Je sens déjà ta colère, Zorglub, et je sais déjà ce que tu vas me répondre... :-)))
Au même titre que les ultralibéraux osent sans vergogne se prétendre anarchistes (on rêve...), penser qu'être "social-libéral" c'est être à gauche est une funeste imposture... Crypto-sarkozystes, na !!!
Rédigé par : Libertador | 24 juillet 2005 à 14:21
@ Zorglub et Margit:
Vous faites partie de cette minorité opprimée dont le Fig-mag a courageusement décidé de prendre la défense...
"Enquête sur la France qui dit OUI"!! 11 juin... :-)))
Rédigé par : Libertador | 24 juillet 2005 à 15:02
houla ne partons pas dans l'invective!
Rédigé par : socdem | 24 juillet 2005 à 15:11
@Socdem
c'est une faute de frappe, du au fait que le "l" est malheureusement trop proche du "m" sur le clavier. Je ne vois pas ce que cela pourrait être d'autre.
Rédigé par : simon | 24 juillet 2005 à 15:14