Pas Raffarin, mais le Che. Kryzstoff ayant oublié de renouveler son abonnement au Figaro, cette tribune lui a sans doute échappé.
Le Figaro ne mettant pas ses archives en ligne gratuitement, je reproduis cette tribune ici, le Che ne pouvant m'en vouloir de lui donner un auditoire élargi.
"Remettre l'euro à sa place", par Jean-Pierre Chevènement.
Le 29 mai 2005, le peuple français a rejeté l'idée qui s'était imposée depuis vingt-deux ans que tous nos choix de société résultaient d'une contrainte extérieure vécue comme une sorte de fatalité.
Évidemment le peuple français n'a pas dit «A bas le monde extérieur !» comme l'a suggéré avec une ironie facile Pascal Bruckner, mais simplement «l'Europe doit être construite avec ses peuples et non pas sans eux». Le rejet de la Constitution marque l'échec d'une méthode qui, au nom d'un souverain bien européen connu d'une seule minorité éclairée, permettait de placer les peuples devant des faits successivement accomplis : union économique, union monétaire, union politique, etc. Bref, c'est la revanche de la méthode républicaine qui met le débat en amont de la décision sur la méthode de l'acquiescement, dite encore du «consensus».
C'est le grand vent de la liberté qui s'est remis à souffler : le peuple français, à ses risques et périls, entend à nouveau façonner son destin. Bien entendu, le non français n'est pas dirigé contre l'Europe et plus précisément contre l'idée que les peuples européens ont à organiser ensemble leur destin mais il met en cause une mondialisation subie.
Rien n'est plus symbolique à cet égard d'une hétéronomie qu'il rejette que le statut d'indépendance absolue de la Banque centrale européenne, sans équivalent dans le monde. M. Trichet va partout répétant que l'Europe connaît «des taux d'intérêt historiquement bas» et qu'il ne faut rien faire qui puisse ébranler la sacro-sainte «confiance» (c'est-à-dire le statu quo). M. Trichet ne semble pas s'aviser que la zone euro connaît depuis 2001 une stagnation économique prolongée. Il se réjouit qu'il n'y ait plus à l'intérieur de la zone de dévaluations compétitives, sans s'aviser que le dollar (et les monnaies qui lui sont rattachées, comme le yuan) a opéré depuis cinq ans une dévaluation sauvage de près de 50% devant laquelle la Banque centrale européenne est restée l'arme au pied. C'est faire comme si le niveau de la parité monétaire n'était pas devenu un facteur déterminant, non seulement pour les exportations et les importations mais aussi pour les décisions d'investissement et de localisation des firmes mondialisées.
«Quel est le plus gros problème en Europe ?, écrit Tony Blair. Vingt millions de chômeurs !» On peut évidemment diverger sur la suite : «Que fait le budget pour cela ? pas grand-chose» : il n'est pas sérieux de prétendre, comme le fait le premier ministre britannique, que le budget européen (environ 1% du PIB global de l'Europe) puisse être un outil déterminant dans une politique de relance keynésienne, à l'échelle de l'Europe.Le moment est donc venu pour les gouvernements, et d'abord les Douze de la zone euro, de prendre les problèmes à bras le corps. Ce que demandent les peuples, c'est un peu de logique : il n'était pas sérieux, au début des années 90, de vouloir imposer une monnaie unique sans l'assortir d'un gouvernement économique. C'était priver l'Europe de toute capacité d'action conjoncturelle efficace. Formidable régression de la pensée économique qu'ont acceptée solidairement tous les gouvernements qui se sont succédé depuis 1992 !
La véritable explication de cette situation tient aux conditions de la réunification allemande. François Mitterrand entendait corseter l'Allemagne réunifiée dans une monnaie unique européenne. Il a dû accepter pour cela les conditions qu'y a mises Helmut Kohl en 1991 : indépendance absolue de la Banque centrale, exclusivement missionnée pour lutter contre l'hydre inflationniste, dont on sait le rôle qu'elle joue dans le subconscient allemand, critères de convergence astreignants pour le rythme de croissance, etc. Ces critères, imposés en son temps par l'Allemagne, se retournent aujourd'hui contre elle : sa croissance est atone, son chômage massif, ses finances publiques dans le rouge. Le bas niveau de l'inflation allemande la prive de taux d'intérêts réels plus bas que son excédent commercial lui permettrait d'espérer.
Les conditions d'une remise à plat existent objectivement. Il semble que les sociaux-démocrates allemands soient plus prêts à remettre en question les dogmes anciens que les chrétiens démocrates encore tributaires de l'héritage idéologique de Helmut Kohl. Mais quel que soit le résultat des prochaines élections, l'Allemagne, qui trouve dans la zone euro plus de la moitié de ses débouchés, n'a pas intérêt à voir disparaître une telle zone de stabilité, nécessaire à son industrie. L'Italie connaît les mêmes problèmes que l'Allemagne et la France (stagnation économique, chômage, délocalisations). Le moment est donc venu d'une initiative politique débouchant sur une conférence à Douze. Si les douze pays de la zone euro s'entendent pour la doter d'un gouvernement économique, les treize autres, à commencer par la Grande-Bretagne, ne pourront pas s'y opposer : aussi bien le dynamisme retrouvé de la zone euro est-il dans leur intérêt.
Que faut-il faire pour cela ? Rien que de très simple : proposer de calquer les statuts de la Banque centrale européenne sur ceux du Federal Reserve Board américain qui a mission de soutenir la croissance et l'emploi. Parions que la seule adoption de ce projet influerait déjà sur le comportement de l'actuelle BCE. Observons au passage que le non français et néerlandais a permis d'obtenir une légère dévaluation de 10 cents de l'euro par rapport au cours antérieur du dollar, soit environ 8%, ce qui est encore très insuffisant mais mieux que rien. Le cours de la Bourse s'en est ressenti heureusement. Mais il n'est pas normal que nous en soyons réduits à attendre des coups de boutoir de la volonté populaire ce qui devrait procéder d'une politique réfléchie, un taux de un euro pour un dollar égalisant les potentiels de croissance entre l'Europe et les États-Unis.
L'«Eurogroupe» a existé avant même la Constitution. C'est une excellente initiative. Le moment est venu de préciser ses compétences en matière de politique monétaire, y compris de change, budgétaire, fiscale, voire sociale : pourquoi ne pas fixer des critères de convergence progressifs en matière de smic, comme il y a des critères de convergence économiques auxquels sont soumis les pays dits «à dérogation» qui veulent entrer dans la zone euro ?Après une mise en place difficile, tout au long des années 90, l'euro vit sa première grande crise. Il y a encore le moyen d'en sortir par le haut : en mettant sur pied un gouvernement économique digne de ce nom.
Les républicains peuvent accepter des délégations de compétence, dès lors qu'elles sont ciblées et démocratiquement contrôlées. Ils ne peuvent pas accepter que les peuples soient dépossédés de leur souveraineté, comme c'est aujourd'hui le cas en matière monétaire. Priver le peuple de sa souveraineté c'est encore la meilleure manière de le dissoudre, comme en rêvent périodiquement les gouvernements.
Le 29 mai, le peuple français a clairement manifesté qu'il n'entendait pas rompre avec la souveraineté populaire qui est au coeur de l'héritage de la Révolution de 1789. Si nos élites continuent de faire comme si elles n'avaient rien compris, si elles refusent d'avancer sur la voie logique qui consiste, après avoir fait une monnaie unique, à mettre sur pied le gouvernement économique qui lui donnera son sens, alors ces élites, prisonnières d'intérêts à courte vue, prendront la responsabilité de l'échec de l'euro. Le choix est moins que jamais pour ou contre l'Europe. Il est de faire l'Europe avec les peuples, en se mettant à leur écoute. L'autre voie, celle du repliement des élites sur elles-mêmes, est suicidaire. Naturellement tout cela ne se fera pas en quelques mois. Des élections interviendront dans les deux ans dans les trois principaux pays de la zone euro : Allemagne en 2005, Italie en 2006, France en 2007. Les élections sont aussi des moments de prise de conscience : La gauche française a beaucoup de chemin à faire pour mettre ses idées en ordre et promouvoir l'idée d'une Europe à géométrie variable, avançant avec ses peuples.Rien, en tout cas, n'interdit aujourd'hui au gouvernement français de prendre les devants. Il y eut d'autres circonstances en 2002-2003 où il n'a rien perdu à s'appuyer sur la volonté populaire : qu'il transforme le non français en atout ! Qu'il se fasse le porte-parole d'une volonté qu'il n'est impossible de déchiffrer que pour ceux qui ne veulent ni voir ni entendre. C'est cela la démocratie ! Il y a un bon usage à en faire !
Je me pose une question, à la première lecture de cet article. Quand on a fait l'ENA (promotion Stendhal), qu'on a été conseiller commercial au ministère des finances, puis député pendant 24 ans, 4 fois ministre, on n'est pas en présence d'une élite, puisque Jean-Pierre Chevènement se met clairement dans le camp d'en face.
Alors c'est quoi une élite ? Parce que mon rêve c'est d'en être une, je cherche le mode d'emploi.
A moins qu'il faille se faire battre aux élections pour obtenir son certificat de non élitisme ?
Ce texte se résume en fait à une proposition : pour lutter contre le chômage en Europe, il faut et il suffit de "calquer les statuts de la Banque centrale européenne sur ceux du Federal Reserve Board américain qui a mission de soutenir la croissance et l'emploi". C'est pas plus compliqué que ça.
Le reste n'est que la rhétorique habituelle sur la Voix du Peuple, contre le terrible complot des élites qui la craignent , seul JPC ayant hélas l'ouïe assez fine pour entendre et comprendre le peuple, qui est décidément bien ingrat à l'heure de voter, et sur le fait que le non français serait une chance pour l'Europe. C'est en effet la conclusion qui s'impose à l'issue du somemt de Bruxelles.
Contrairement à l'élite des internautes, JPC ne lit pas Publius : il aurait sinon découvert que les statuts de la Federal Reserve incluent bel et bien la mission d'assurer la stabilité des prix, aux côtés du plein emploi et de la croissance.
Il réussit en tout cas l'exploit de se dire de gauche et d'invoquer le modèle américain pour promouvoir une politique keynésienne européenne. Le tout dans un journal de droite.
Il faudrait imposer un examen d'entrée avant de poster sur Publius. Avec Eviv, le niveau vol bas. Je comprends que plus personne ne s'attarde sur publius.
Rédigé par : Philippe | 03 juillet 2005 à 19:21
@Philippe
Vous avez mal digéré ? L'intérêt est d'écouter (lire) les différences, toutes les différences.
Sincèrement.
Rédigé par : Quoique | 03 juillet 2005 à 20:38
Point du tout Quoique.
"C'est bien ça le pb. On est mieux "armé" (je réfute ce terme connoté) sur le papier. Mais on fait moins bien dans plein de secteurs. Et de moins en moins bien, moins de pauvre en UK qu'en France ? pour quand ? Déja ?
Donc on a un pb, un gros. Ca démontre de plus que ce pb ne vient pas d l'extérieur (d'autres font mieux en étant moins bien "armé") mais bien de l'intérieur de notre chez nous...
Ceci dit on est très mal armé pour Lisbonne, au moins sur l'aspect science. Le pb de la recherche et des facs n'est ps que financier : manque de compétence, de dynamisme, mandarinisme, défection des meilleurs éléments( qui vont faire du commerce ou je ne sais quelle autre horreur)... Mal barre."
Dans son dernier message, Eviv réussi le tour de force de décrier un terme qu'il trouve connoté pour l'utiliser lui-même au paragraphe d'après.
En plus si c'est pour dire des inepties... La France mieux préparée dans le domaine de la gestion des connaissances, mon dieu !
Plus personne ne parle français dans le monde (même dans le monde scientifique et ceux de la médecine et de la biologie en particulier). Les français sont eux-mêmes très mauvais en anglais - ne parlons pas de l'allemand ni des nouvelles langues chinois, espagnol, portuguais.
Et pour clore les débats, les entreprises et universités (spin-off) n'ont pas de politique systématique visant a breuveté leurs découvertes.
Quant à l'espionnage industriel... On est une véritable passoire.
De toutes façons, nos chercheurs qui sont encore ici manquent d'ambitions ou n'ont pas encore trouvé l'opportunité d'un départ vers les labos du monde entier où on est prêt à mettre les moyens.
Je termine en signalant que nos profs (surtout les anciens) sont encore dans le coup contrairement à ce qu'Eviv pense mais probablement n'en connait-il pas lui même.
Rédigé par : Philippe | 03 juillet 2005 à 22:33
@philippe,
Et de plus en plus de français maîtrisent mal le français, vous avez oublié ce détail...
Rédigé par : DG | 04 juillet 2005 à 09:00
N’en déplaise à DG…
« Et puis il faudra que l'on m'explique pourquoi autant d'économistes se glosent de la rentabilité des entreprises quand elle ne résulte que de la réduction des emplois ?
C'est quoi le plus important, les chiffres positifs, ou les hommes et les femmes qui vivent de leur activité? »
Les entreprises (et leurs patrons) ne sont pas maso ) Je ne connais pas une entreprise, même très petite, qui n’effectue pas avant toute dépense un calcul de rentabilité).
Elles ne sont pas publiques et financées par les contribuables quoiqu’elles fassent et en laissant une dette faramineuse aux générations futures…on a déjà vu des états faire faillite…
Si la rentabilité future = survie de l’entreprise l’exige elle peut être amené à « licencier, restructurer ».
Que préférez-vous : des chiffres positifs ou pas d’entreprises ?
Rédigé par : margit | 04 juillet 2005 à 12:24
@DG
Je suis d'accord mais je ne vais pas motiver car on est vite lepenisé ici.
Rédigé par : Philippe | 04 juillet 2005 à 16:29
@Margit
"Que préférez-vous : des chiffres positifs ou pas d’entreprises ?"
*Et vous, vous préférez quoi, rentabilité à un chiffre ou à deux chiffre ?? Moi, j'ai fait mon choix.
Rédigé par : Simon | 04 juillet 2005 à 17:33
@Margit
"Que préférez-vous : des chiffres positifs ou pas d’entreprises ?"
*Et vous, vous préférez quoi, rentabilité à un chiffre ou à deux chiffre ?? Moi, j'ai fait mon choix.
Rédigé par : Simon | 04 juillet 2005 à 17:36
@Margit,
A votre question simple, je réponds : que les chiffres positifs, comme les bénéfices des entreprises, servent davantage à l'activité salariale qu'au bien être des actionnaires...
Rédigé par : DG | 04 juillet 2005 à 20:27
Et pourquoi ne pas faire les deux ?
Les salariés peuvent aussi être actionnaires. Et même devraient !
Rédigé par : hmmm | 04 juillet 2005 à 21:49
Et pourquoi ne pas faire les deux ?
Les salariés peuvent aussi être actionnaires. Et même devraient !
Rédigé par : hmmm | 04 juillet 2005 à 21:50
D'accord et dans ces cas là, pas de patrons: un salarié = une voix.
Rédigé par : DG | 04 juillet 2005 à 22:52
Sans problèmes, plus besoin de décideur isolé, chacun met en commun ses compétences, un salarié= une voix, décisions prises aux votes,profits étalés sur les salaires et réinvestis pour le développement, bref, plus de décideurs seuls pour l'avenir des entreprises....J'abonde.
Un modèle coopératif...
Rédigé par : DG | 04 juillet 2005 à 22:56
et dire que Margit à voter
comme Martine Aubry!
Quelle cohérence?.
Margit, continuez à donner des leçons, ça distrait.
Rédigé par : fraisouille | 05 juillet 2005 à 00:13
amusez vous bien les petits, faites de beaux rêves, je reviendrai quand vous serez adultes...
Rédigé par : margit | 05 juillet 2005 à 01:46
@DG non. Une action, une voix. Si déjà ça, c'était respecté ce serait pas mal. Celui qui investit à autant, si ce n'est plus, son mot à dire que le salarié. Il est juste que les salariés possèdent un partie de l'entreprise, parce qu'alors ils sont intéressés aux bénéfices, et si ils se font virer pour "dégraisser", leurs action au moins, prennet de la valeur :)
En bonne théorie des jeux, si on me dit "je te donne 10 F, tu les partages avec ton voisin comme tu veux, mais il doit dire oui" et bien normalement je dois te proposer le moins possible et tu dois dire oui, parce que sinon personne n'a rien.
de la même manière si on te propose un salaire de misère pour travailler c'est mieux que rien.
Je me répète un peu, mais la seule manière d'avoir un jeu équilibré, c'est de s'assurer que les deux parties offrent quelque chose d'indispensable à l'autre. c'est à dire que le taux de chômage soit tel que si je demande un salaire plus élevé, on ne puisse me le refuser...
Rédigé par : hmmm | 05 juillet 2005 à 07:50
Il me semble que notre société civile devrait faire une introspection de fond sur son rapport aux entreprises perçues essentiellement comme des entités économiques désolidarisées des enjeux humains et environnementaux larges...
Il ne faut pas se leurrer, parfois, il s'agit au travers de la situation de certains patrons, de simples histoires de réussites personnelles et moins une réflexion sur des enjeux humains qui les concerneraient(pas tous heureusement).
C'est souvent le problème auquel sont confrontés les salariés , qui eux mêmes, pour leur réussite personnelle aussi, oublient de se projeter dans une réflexion du type: comment ma position personnelle s'articule t'elle dans cet ensemble humain qui doit nous permettre de vivre tous?"
Rédigé par : ouvrier responsable | 05 juillet 2005 à 12:54
@margit,
Dommage que vous cessiez d'exprimer votre avis. Confronter les idées me semble une bonne chose. On mesure les limites de chacun, non sur la seule intelligence, mais sur les situations contextuelles respectives...Cela peut être utile.
Rédigé par : ouvrier responsable | 05 juillet 2005 à 13:06
De Verel:
"Bonjour
versac:"Vraiment ? Je croyais qu'on sortait d'années d'excédent commercial"
justement, on en sort!
Alors que l'Allemagne en fait plus que jamais!
ce n'est donc pas la faute à l'euro! ou à la BCE!
Alors?
le manque d'innovation?
Les mammouths à trainer?
Les 35 heures?
la dette et les prélévements trop élevés?
Sans doue un peu tout cela et d'autres choses"
Enfin c'est surtout un mauvais positionnement géographique et une mauvaise spécilaisation.
De Eviv:
"Et de moins en moins bien, moins de pauvre en UK qu'en France ? pour quand ? Déja ?"
Non, non la GB est la société la plus inégalitaire en Europe même si les inégalités tendent à diminuer
@ hmmmmm:
Dg parlait du modèle coopératif ou un employé=une voix. Avec une meilleure allocation des ressources vers l'investissement et vers les salaires. Les actionnaires ne demandent pas 15% de retour sur investissemnet comme les fonds de pension
Rédigé par : esperanza | 06 juillet 2005 à 17:03
@ esperanza
"Non, non la GB est la société la plus inégalitaire en Europe même si les inégalités tendent à diminuer"
Quelles sources?
Rédigé par : Frankie | 06 juillet 2005 à 18:42
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Rédigé par : mryude hzjqexd | 01 décembre 2007 à 00:49