(non, il n'y a pas de contrepèterie dans le titre)
D'après l'AFP, via Le Monde, le Conseil européen a réussi à se mettre d'accord ce jeudi soir sur une prolongation au delà de novembre 2006 du processus de ratification. C'est la fameuse "pause" réclamée par certains.
21 h 34 : Consensus autour du prolongement du processus de ratification
La plupart des 25 Etats membres de l'Union européenne se sont prononcés, jeudi soir au sommet de Bruxelles, pour prolonger au-delà de novembre 2006 le processus de ratification de la Constitution, a-t-on appris auprès de la présidence luxembourgeoise. "Une très large majorité des Etats membres se sont prononcés pour cette possibilité", a déclaré une source proche de la présidence. "On s'oriente vers un consensus", a confirmé une source communautaire.
Ce scénario permettrait d'ouvrir la pause réclamée par de nombreux dirigeants pour contrecarrer la dynamique du non à la Constitution enclenchée après les référendums négatifs en France et aux Pays-Bas.
"Ce sera plutôt une période de réflexion", a indiqué la source communautaire, tandis que certains pays évoquent une "pause".
Réunis en dîner de travail, les chefs d'Etat et de gouvernement des 25 planchaient encore en milieu de soirée sur un projet de déclaration commune soumis par la présidence luxembourgeoise, selon des sources diplomatiques concordantes.
Pas d'enterrement en grande pompe du projet constitutionnel pour le moment donc. Mais un ralongement des échéances qui risque, à mon sens, de laisser l'Union dans un état un peu passif pendant quelques années, en attendant que les choses se décantent. Je ne suis pas certain que ce soit la meilleure solution. Mais c'est celle qui fait l'unanimité.
Le but recherché est évidemment de déconnecter le plus possible les éventuels futurs référendums des résultats français et néerlandais, pour éviter tout effet "domino". Je suis sceptique sur la méthode choisie. Les référendums continueront de s'étaler dans le temps, se suivant les uns les autres, et l'effet d'entrainement sera donc toujours présent. Je reste persuadé que la meilleure (et peut-être la seule) solution à l'avenir sera d'organiser les ratifications parlementaires ou référendaires dans un laps de temps très court pour que les débats nationaux s'interconnectent et que l'enjeu apparaisse comme pleinement européen.
"Les autorités françaises et hollandaises ont clairement indiqué qu'il n'y aurait pas de nouveau vote."
Il ne faut jamais dire " jamais ". Les autorités actuelles l'ont dit. Elles n'engagent qu'elles même. Et encore.
Rédigé par : Индѝњ | 17 juin 2005 à 12:41
"Les autorités françaises et hollandaises ont clairement indiqué qu'il n'y aurait pas de nouveau vote."
Il ne faut jamais dire " jamais ". Les autorités actuelles l'ont dit. Elles n'engagent qu'elles même. Et encore.
Rédigé par : Индѝњ | 17 juin 2005 à 12:43
Au fait, l'ont-elles vraiment dit? et en quels termes?
Rédigé par : Индѝњ | 17 juin 2005 à 12:44
Entendu sur France 2 à l'instant, de la part du correspondant au sommet, à propos du budget
"deux visions s'affrontent : celle libérale, s'inscrivant dans la mondialisation, de l'UK et celle plus solidaire envers les nouveaux entrants, défendu par la France"
Faut oser qd même.
@Индѝњ
Oui il est urgent d'attendre que la situation politique (sociale...) française se décante (ou pas) en 2007.
Rédigé par : Eviv Bulgroz | 17 juin 2005 à 13:12
Reuters
"En France, le référendum est un mode de décision", a-t-on confirmé dans l'entourage de Chirac. "Quand une décision a été prise par le peuple directement, on voit mal au nom de quoi on demanderait au peuple de revoter."
Balkenende a été tout aussi définitif: "Un non est un non et il n'y aura pas de second référendum."
AP
Dès son arrivée à Bruxelles jeudi, le Premier ministre suédois Göran Persson a en tous cas réclamé de la France "un message clair", et "qu'elle dise ce qu'elle compte faire après son vote 'non'"
"Si (les Français) ne sont pas prêts à revenir devant leur peuple avec un nouveau référendum sur la même Constitution, alors elle est morte, par définition, et il n'y a aucune raison que nous entamions un processus de ratification", a-t-il résumé vendredi sur une radio suédoise.
-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-
En voila un qui a le mérite d'être clair et d'éviter la langue de bois de Junket et Barroso ! Au moins tant que Chirac est président et Balkenende PM, il n'y aura pas de nouveau référendum en France ou au Pays-Bas.
Et est-ce que le nouveau président prendra le risque de se faire désavouer d'entrée de mandat ? Si ça avait été du 50,5% contre 49,5%, peut-être, mais là ? D'autant plus que poser la question une deuxième fois risque d'énerver certains.
Et on ne parle jamais du plus que probable non britannique ?
Rédigé par : trac | 17 juin 2005 à 13:15
Dans ce cas on risque d'être dans la configuration contraire à celle que l'on a vécu ces derniers mois : on votera en 2007 à la fois pour le président et la constitution. On voit mal le PS se racomoder dans ces circonstances.
Rédigé par : Индѝњ | 17 juin 2005 à 13:21
@ Eviv
"@Индѝњ
Oui il est urgent d'attendre que la situation politique (sociale...) française se décante (ou pas) en 2007."
On peut patienter autant qu'on veut, la situation catastrophique ne fera que s'accentuer tant que les frontières resteront lamentablement ouvertes.
Rédigé par : Philippe | 17 juin 2005 à 13:21
En fait, en France les échéances sont déjà fixées. Il se trouvera bien au moins un candidat pour proposer un nouveau référendum. Et tous les candidats devront se prononcer sur la question.
Rédigé par : Индѝњ | 17 juin 2005 à 13:25
@ Индѝњ
Ce qui prouve bien que la France est liée à l'Europe et l'Europe à la France.
On ne peut pas répondre Oui au traité sans considérer la situation économique française tout comme on ne peut considérer l'élection d'un nouveau Président sans considérer la construction européenne.
Ce message s'addresse aux militants du OUI qui critiquent volontiers les défendeurs du NON qui englobe la situation économique française dans leur décision.
Rédigé par : Philippe | 17 juin 2005 à 13:33
"On ne peut pas répondre Oui au traité sans considérer la situation économique "
le traité est essentiellement une question institutitonnelle.
Bon, je retourne au charbon. à ce soir :)
Rédigé par : Индѝњ | 17 juin 2005 à 13:37
L'élection présidentielle de 2007 est essentiellement une question nationale. Et pourtant...
Rédigé par : Philippe | 17 juin 2005 à 13:42
Si l'Europe, c'est de ne réaliser que des consultations électorales quand les sondages sont bons, sinon de les différer, si l'Europe, c'est de refaire voter des peuples qui n'ont pas suivi l'avis de ceux qui nous gouvernent, alors, elle a besoin de prendre d'urgence des leçons de démocratie . Car là, elle est en train de perdre le petit peu de crédibilité qui lui restait encore et de se séparer totalement des citoyens.
Rédigé par : Rolling Pat | 17 juin 2005 à 13:51
Pendant toute la campagne, je n'ai cessé de répéter que voter NON, c'est voter NICE, et je rajoutais pour 30 ans.
Je maintiens ce propos sauf que je reconnais que ce sera probablement 10 (aménagement des conditions de vote par ex)
En tout les cas ce sera NICE pour ses cotés libéraux pour 30ans.
Il peut y avoir 1 autre scénario, puisque la ratification continue, si dans l'hypothèse où seules la France et la Hollande votent NON (tout à fait envisageable), nous serions effectivement les moutons noirs.
Et ds ce cas rien ne dit qu'en 2007, Sarko président de la république ne repropose un vote.
Rédigé par : Jean-Paul Droz | 17 juin 2005 à 14:09
@ Rolling Pat
L'Europe, un nain de la défense.
L'europe, un nain de la diplomatie.
L'europe, un nain économique.
L'europe désormais également un nain démocratique.
Mais franchement, après l'affaire du sang contaminé, l'affaire Dutroux, les libérations conditionnelles, le nuage de tchernobyl, la régularisation des sans-papiers, les produits chimiques, l'absence de transparence des OGM, la canicule, la propagande des médias et désormais le truchement du résultat des votes...
Rédigé par : Philippe | 17 juin 2005 à 14:12
Sans commencer a sortir la carte "attention complot", on peut quand meme constater qu'il y a un probleme avec nos medias.
Ca deviens du grand n'importe quoi. Et a chaque fois, c'est le meme cinema apres. "Ah oui on a pas verifié, mais bon vous savez c'est pas notre faute ... c'est faute aux autres ...", ou "ah non on en a pas parlé, mais vous savez c'est pas notre faute, ca interresse personne" et des "ah non on a rien vue nous, mais c'est pas notre faute."
Ca fait belle lurette que j'ai pas vue un grand media se "remettre en cause" pour de vrais, avec de vrais changement (necessaire), derriere.
Ne pensez vous pas que probleme il y a ?
Rédigé par : RilaX | 17 juin 2005 à 16:17
@ Rilax
Benh si. C'est comme quand on a fait croire que l'Irak avait des armes et que en 30 minutes, Saddam pouvait faire tout exploser (en Europe, aux USA etc).
Alors "of course", nos stratèges ont prévu de faire la guerre et ont sorti leurs plans : 6-9 mois pour ramener les GI's sur le front...
Bien entendu, les médias la bouclent. C'est normal de contrecarrer une attaque de 30 minute par une mise en place de près d'un an...
Un monde de merde, des médias de merdes... Une seule issue, faire parti du système et s'enrichir sur le dos des autres les gars ! Il vaut mieux abandonner la France, abandonner notre culture et faire bosser les plus idiots et/ou plus pauvres que nous.
Ou alors, on peut aller poser des bombes. Les deux solutions se vallent en réalité.
Rédigé par : Philippe | 17 juin 2005 à 16:38
@Philippe
Tu en as pas marre de tes raccourcis bidon ?
Rédigé par : Seb24 | 17 juin 2005 à 16:49
Je viens de lire de nouveaux commentaires de TdLH sur les débats actuels autour du TECE. Cela intéressera peut-etre certains sur ce blog.
http://www.ineditspourlenon.com/
Rédigé par : 123 | 17 juin 2005 à 17:25
@Seb24
Si seulement ct bidon~~
Rédigé par : Philippe | 17 juin 2005 à 17:25
@123
non
Rédigé par : Eviv Bulgroz | 17 juin 2005 à 17:36
pas soleil
Rédigé par : Eviv Bulgroz | 17 juin 2005 à 17:37
Le monde paralysé, hyperpuissance en tête
17 juin 2005 — Les Européens se disent qu’ils sont en crise. Ils n’ont pas tort. Ils jugent qu’ils sont paralysés. Ils n’ont pas tort. Ils s’affolent parce qu’ils ont peur pour leur réputation, face à leurs partenaires divers dans le monde, dont ils pensent qu’ils vont profiter de leur panne. Ils ne devraient pas. Ils sont parfaitement conformes à l’humeur du monde.
Le grand phénomène, la “tendance” actuelle, c’est une immense paralysie qui envahit les politiques et les dirigeants, confrontés à la fois à l’échec de leurs très grandes politiques et à leur impuissance à y remédier. Rapide revue de taille, non exhaustive.
L’Europe bloquée, on l’a déjà dit. Ce qui se passe à Bruxelles, hier et aujourd’hui, et encore demain et après-demain, et pour un certain temps, ne représente que des manœuvres tactiques de piètre qualité. Il faut bien des discussions de boutiquier, nous les avons. Les dirigeants sont totalement impuissants devant une crise qu’ils n’ont pas vue venir et à laquelle ils ne comprennent rien, — à laquelle certains d’entre eux, assez rares mais il y en a, n’osent pas trop comprendre ce que leur bon sens et leur intuition leur disent. Ils décident sur des choses que les événements ont imposé d’ores et déjà, comme par exemple la “mise en hibernation” de la Constitution, comme titre “The Independent” d’aujourd’hui à propos des décisions, à Bruxelles hier. “Nous ne comprenons rien à ce qui se passe, feignons d’en être les organisateurs”.
Le même “The Independent” d’aujourd’hui nous apprend que Tony Blair, qui est allé à Washington la semaine dernière, en a rapporté une mauvaise nouvelle : son projet de lancer, au sein du G-8, un grand programme de lutte contre le réchauffement climatique avec l’aval des Américains, a rencontré l’hostilité à peine polie de ces mêmes Américains. Le plus extraordinaire est que Blair et son équipe aient cru un instant qu’ils allaient obtenir quelque chose d’une direction US encalminée dans un océan de stupidité, de corruption et d’impuissance. Quelques mots de The Independent.
« The “plan for action” to tackle climate change for the G8 summit next month has been drastically watered down following Tony Blair's visit to Washington, according to a leaked draft.
» The new text has been stripped of commitments to fund programmes that appeared in a previous leak of the communiqué, which was dated 3 May. In the new document, of 14 June, some key phrases appear only in square brackets, indicating that their inclusion is in dispute, while other important sentences have been taken out altogether.
» In this week's version, even the phrase “our world is warming” has been placed in square brackets. The sentence, referring to the rise in the earth's temperature: “We know that the increase is due in large part to human activity” has been relegated to square brackets, as has: “The world's developed economies have a responsibility to show leadership.”
» Catherine Pearce, the international climate campaigner at Friends of the Earth, said: “The new text is really attacking the whole science on climate change. The previous text was weak but at least it recognised the science. The US administration has hacked the text to pieces. I just don't know where we can go from here.”
» Stephen Tindale, the executive director of Greenpeace and a former adviser to Tony Blair, said: “President Bush is an international menace. Blair says climate change is the gravest threat we face and but it seems his friend in the White House refuses even to admit the world is warming.” »
Les Américains prévoient parfois, non sans une cynique satisfaction à peine dissimulée, l’effacement de l’Europe. Ils ont tort d’afficher cette cynique satisfaction, qui ne prouve rien d’autre que leur incapacité à embrasser la situation du monde dans son ensemble, — inquiétant travers pour qui prétend succéder à Rome. On ne s’efface d’un monde qui, lui-même, s’efface comme du papier buvard. Washington est la première puissance, la première d’entre toutes (primus inter pares) selon ses affirmations pompeuses, et elle est aussi la première à s’abîmer dans une paralysie totalement catastrophique. Un autre texte du même Independent, décidément à l’ouvrage, nous décrit l’état d’esprit de Washington devant la catastrophe irakienne, point de fixation de toutes les impuissances et les vanités de l’Empire, et aussi devant le reste qui s’accumule.
« There is an increasingly sour mood in America, much disillusioned with Mr Bush, and inclined to share Mr Conyers' belief that “we got into a secret war we hadn't planned, and now we're in it we can't get out”.
» In June 2002, a month before the British memo was written, 61 per cent of Americans favoured the forcible removal of Saddam Hussein, as the next stage of Mr Bush's ‘war on terror’. Today, polls show that only 42 per cent say the war was worthwhile.
» Mr Bush's approval ratings have tumbled further, to just 41 per cent, the lowest level of his presidency. One reason is dissatisfaction with the economy, most notably the soaring cost of petrol. But the biggest reason is Iraq, which threatens to undermine his second-term strategy. The White House had hoped that Iraq would fade as an issue after January's elections. This, it believed, would allow it to focus on Mr Bush's domestic goals of social security and tax reform.
» But in the past month alone, 80 US soldiers and more than 700 Iraqis have died and the Pentagon admits that the violence is as bad as a year ago. Even some of its allies blame the White House for not telling the truth about the extent of the insurgency. “We always accentuated the positive and never prepared the public for the worst,” Senator Lindsay Graham, a South Carolina Republican, said.
» The President's signature policy — the campaign to part-privatise social security — has hit a brick wall. “Exit Policy on Social Security is Sought,” was a Washington Post headline, above a report explaining how senior Republicans were urging the White House to quietly drop the measure, since it had no hope of passing.
» Other Bush policies are also under attack. In a rare act of defiance, the Republican-led House voted by 238 to 187 to scrap a provision of the Patriot Act, which allows the FBI to check library and bookstore records in anti-terrorism inquiries. The President vows to veto any such change, just as he promises to "stay the course" on Iraq, and to press ahead with social security reform. But the line is growing more difficult to hold.
» Last night, Senate Democrats planned to block for a second time a floor vote to confirm John Bolton as the next US ambassador to the United Nations, until the White House releases more information on its embattled nominee.Other Republicans are demanding closure of the Guantanamo Bay prison, although the White House says it is vital for security. »
Contrairement aux thèses abondamment documentées en Europe, ce qui doit nous faire peur avec l’Amérique de GW, ce n’est pas sa puissance mais son impuissance. Ce qui est décrit pour l’Irak vaut pour le reste. On connaît l’état du centre nerveux et moteur de la machine militaire, le Pentagone, Gargantua kafkaïen en train de devenir un monstrueux Frankenstein. Les chiffres, budgets, investissements, montagnes de dollars, qu’égrènent les analystes fiscaux, façon perroquet au ramage sophistiqué, n’ont aucun intérêt. Ils décrivent une situation conjoncturelle susceptible de changer en un tournemain (c’est la spécialité de l’Amérique). Ce qui importe est l’état structurel de l’Amérique, et peut-être de la psychologie même de l’américanisme; l’évolution catastrophique à cet égard rend cette puissance totalement vulnérable à un événement conjoncturel brutal. La situation est, en pire, celle de 1929 (la comparaison concerne le processus, pas le domaine concerné, — l’économie dans ce cas ; il s’agit de la fragilité structurelle face à l’accident conjoncturel): une situation conjoncturelle florissante et même éclatante (le crédit, les investissements, la spéculation, etc) et des faiblesses structurelles extraordinaires, notamment psychologiques, qui conduisirent à une chute cauchemardesque dans la Dépression jusqu’en 1933 après l’accident conjoncturel du “Black Thursday” d’octobre 1929.
Revue terminée, on comprend qu’on doit aussitôt introduire une nuance de taille par rapport à notre titre : non pas “le monde paralysé” mais les directions et les dirigeants du monde également paralysés, avec les Américains en tête. Le système met de plus en plus au jour non seulement ses limites, mais également les effets terrifiants qu’imposent ce qui a déjà été fait.
C’est la crise d’un système dont la puissance interdit qu’une résolution de cette crise soit faite par les moyens de réformes, radicales ou non, voire de ruptures violentes par les voies habituelles, c’est-à-dire portant sur les causes de la crise. Aucun moyen n’est possible, pour résoudre la crise, sinon celui de la certitude conduisant à nier le fondement de la crise et se réfugiant dans la fuite en avant: toujours plus de ce qui est la cause même de la crise. A ce rythme, un accident imprévu peut, brusquement, prendre des proportions également complètement imprévues.
http://www.dedefensa.org/
Rédigé par : Manu_K | 17 juin 2005 à 18:34
@ Manu-K
T'es sur quelle liste, je vote pour toi. :P
"« The “plan for action” to tackle climate change for the G8 summit next month has been drastically watered down following Tony Blair's visit to Washington, according to a leaked draft."
Après le coran, le réchauffement climatique passe aux chiottes.
Rédigé par : Philippe | 17 juin 2005 à 19:08
Toujours aussi bon de le lire :
http://lipietz.net/breve.php3?id_breve=62
Quid du plan B ? mmh ? Pikipoki ?
Rédigé par : Praxis | 17 juin 2005 à 19:33
"L'objectif du gouvernement espagnol est d'obtenir que l'Espagne puisse continuer à être un bénéficiaire net, qu'elle reçoive plus qu'elle n'apporte à l'UE jusqu'en 2014", a déclaré à la presse Alberto Navarro, le secrétaire d'Etat aux affaires européennes.
Et après, quand on dit ici que l'Espagne est intéressée par les subventions européennes, on se fait traiter de raciste.
Rédigé par : trac | 17 juin 2005 à 20:15